François Lenglet – qui n’a pas toujours eu le même discours – a raison : le problème de la dette grecque ne pourra être résolu sans que soit réglé au préalable le problème de l’euro, monnaie inadaptée et beaucoup trop chère. On ne le répétera jamais assez : Avant d’être financière, la crise que le monde vit aujourd’hui est une crise monétaire. Une crise de la fausse monnaie et d’un capitalisme dévoyé par les manipulations permanentes des banques centrales, au service d’intérêts financiers (et politiques) privés. Or ce système malade et corrompu, on nous interdit d’en sortir de façon démocratique, ordonnée. Il n’en faut pas plus pour qu’on se prenne à rêver qu’il implose enfin…